Au cours de cette semaine qui s’achève, la presse écrite au pays de Roger Mila a essentiellement consacré ses grandes unes et même ses petites unes au retrait de l’organisation de la CAN Total 2019 à l’Afrique en miniature. Une décision de la CAF qui a fait couler beaucoup d’encre et de salive au sein de l’opinion…
Cette semaine le journal Diapason a titré à sa grande une : RETRAIT DE LA CAN: « Des têtes doivent tomber »
On n’espère que la force de l’expérience va prêcher par l’exemple en sanctionnant avec la dernière énergie l’inertie qu’il a tant décrié dans son gouvernement. Une inertie qui a visiblement causée le retrait de la CAN 2019 au Cameroun. Nous croisons les doigts et attendons de voir dans les prochains jours les têtes qui vont tomber. Nous espérons que cette fois si le régime de Yaoundé ne se contentera pas simplement d’ouvrir les enquêtes.
Cette semaine l’hebdomadaire Expression Économique a titré à sa grande une: Retrait de la CAN 2019: Perte d’1 million de touristes et…
Le Cameroun pays en voie de développement s’est offert le luxe de laisser glisser entre ses mains une grande opportunité de booster son tourisme et dans la foulée son économie en se faisant retirer la CAN 2019. Et pourtant on rabachait les oreilles du peuple avec la célèbre phrase » Le Cameroun sera prêt le jour dit. » Il faudra que nos » Grands dirigeants impliqués dans cette banqueroute payent la note en vendant toutes leurs voitures de luxe et grands immeubles pour compenser les 1000 milliards de perte. Chers messieurs les dirigeants assumez vos erreurs. Pas question pour le peuple de payer d’avantage d’impôts.
CAN 2019: Qui perd gagne… A titré cette semaine à sa grande une le journal Baromètre.
Le Cameroun a perdu la CAN 2019. Cependant que va gagner le Cameroun ? Le journal contient peut-être la réponse.
Qui va donc surveiller ces 107 milliards de FCFA le quotidien de l’économie ???
Retrait de la CAN au Cameroun : Le gouvernement se plie à la décision de la CAF. C’est la grande une du quotidien Le Jour. A l’issue d’une réunion présidée par le premier ministre Camerounais, le gouvernement Camerounais a jugé judicieux de renoncer à l’idée de saisir le TAS pour contester la décision de la CAF du 30 novembre dernier.
En tout cas les autorités de Yaoundé n’avaient pas trop le choix. Nul n’est au dessus de la loi.
Cette semaine le quotidien émergence a titré à sa grande une : Grands travaux : La Banque mondiale accuse le Cameroun de sur facturation.
Les mauvaises habitudes ont la peau dure dit-on souvent. L’on apprend que concernant le projet de construction des infrastructures de la CAN le prix du camion de sable était nettement supérieur au prix pratiqué sur le marché local au Cameroun même son de cloche avec les prix des sacs de ciment. Chose curieuse les acteurs de cette sur facturation ne sont jamais inquiétés pour rendre compte au peuple Camerounais. l’État serait t-il devenu une vache à lait, une machine à sous? Ou alors un instrument pour exploiter le peuple ?
CAN 2019: Les exécuteurs du Complot. Autopsie d’une mafia tentaculaire. A titré le journal L’INDEPENDANT.
Ces exécuteurs tout comme les Salauds a la Une du journal Le Point doivent rendre gorge fut-ils premier ministre…
La proie soutient son bourreau curieux. En tout cas c’est ce que les lecteurs ont découvert cette semaine à la une du journal infoMatin qui a titré Coup de théâtre. Le gouvernement soutient Ahmad Ahmad.
Un véritable coup de théâtre. Qu’est-ce qui justifie ce revirement ?
Certains « messies » veulent sauver le football Camerounais. C’est l’idée qui se dégage de la grande une du quotidien le messager paru en kiosque cette semaine.
L’élection est généralement le moment où les candidats embarrassent les électeurs avec des projets pompeux. Une fois au pied du mur tel un maçon, ils commencent à faire la philosophie et la démagogie.
Quelle leçon pour les électeurs ?