Chers lecteurs c’est avec un coeur meurtri que j’écris ces lignes pour vous informer sur les circonstances de la disparition momentanée de votre blogue préfère.
En effet, à la fin du mois de novembre dernier, grande a été ma surprise lorsque après avoir publié mon article sur un fait divers mon blogue a cessé de fonctionner. J’ai immédiatement contacte mon webmaster qui m’a rassuré que c’était un problème de mis à jour du site. Dans la foulée il m’a rassuré qu’après l’avoir envoyé les frais de connexion pour mettre à jour mon blogue, tout rentrera dans l’ordre. Ce que j’ai fait sans hésitation. Grande a été ma surprise lorsqu’ une fois mon blogue à nouveau opérationnel il ne contenait que des articles datant de 2018 avec des nombres de vue n’excédant pas cinq. C’est dont plus 500 articles rédigés de 2019 à novembre 2021 qui disparaissaient ainsi sur la toile.
Très surpris j’ai immédiatement joint au téléphone mon webmaster qui m’a fait savoir que la mise à jour a permis seulement de récupérer les articles datant de 2018. Une réponse qui ne m’a pas convaincu. J’ai à sa suite contacté l’expert TIC de l’association des blogueurs du Cameroun dont je suis membre qui m’a expliqué qu’aucune mis à jour ne peut faire disparaitre les articles.
Et donc je suis arrivé à la conclusion que mon webmaster aurait certainement payé mon herbgement pour six mois et non pour un an comme convenu et dans la foulée pour cacher sa fourberie il a certainement trouvé un autre herbgement et il a tout simplement transféré tous mes articles restés dans la version gratuite de mon blogue dans le nouveau blogue obtenu avec le nouveau hébergeur.
Les tractations entreprises pour rentrer en possession du code de mon hébergement pour sauver mes articles n’ont pas porter de fruit. Mon webmaster ne « m’aurait pas donné » le code exact pour payer mon hébergement qui visiblement n’a pas été payé annuellement comme convenu. Voilà résumé en quelques lignes les circonstances et raisons de la disparition temporaire de mon blogue, de votre blogue.
Rodrigue Djengoue.
